Du vert, du vert, de la verdure, du végétal !
Pour les urbains notamment, respirer à l’air libre, avoir l’œil qui se perd dans un paysage et l’esprit qui s’apaise avec le bruit lointain d’une cascade claire, sont devenus avec les confinements et la crise sanitaire un besoin vital.
L’envie de faire corps avec la nature, de se perdre dans un sous-bois, de regarder des gouttes sur une feuille et le soleil filtrer, nous en avions besoin.
Pour cette première exposition post-crise, il fallait proposer un instant de zénitude. Un moment où on ralentit un peu et où on prend le temps de flâner, de profiter des champs et des forêts.
Green c’est cette pause ! Bonne balade à tous.Exposition privée dans les locaux du cabinet d’avocats Hoyng Rokh Monegier.
Un lien invisible unit toutes les femmes sur la planète. J’en suis persuadée. Suis-je mystique ? Peut-être. C’est un lien spirituel. Et, chaque fois que je suis en Asie en particulier, j’en ai la preuve tous les jours. Un lien fait de générations, d’histoires recommencées, de joies, de peines et de douleurs, d’amours, de naissances et de morts. Les portraits présentés ici sont le reflet de ces rencontres.21 Photos prises entre 2009 et 2020 en Chine et en Inde – Caura Barszcz
Une ville se vit. Elle se regarde. Elle s’apprivoise … ou pas.
Chaque ville a une atmosphère qui n’appartient qu’à elle. Elle se refuse ou se donne pas à pas. Elle offre une vision au détour d’une rue, une lumière éphémère, un nuage qui change tout, un trait qui se perd.
En noir et blanc ou en couleur, Vision-Ville est ce reflet, cette approche de plusieurs villes emblématiques : NYC bien sûr, Chicago, Cleveland, Tel Aviv, Belfast, Paris et d’autres.Exposition privée dans les locaux du cabinet d’avocats Hoyng Rokh Monegier.
Art is not ! L’art n’est pas toujours ce que l’on croit, n’a pas besoin d’être compliqué ou ésotérique. Un reflet, une affiche arrachée, un graffiti, une tache sur un mur… Le quotidien même le plus banal, peut être source d’inspiration et parle de la vie.
Pour sa nouvelle exposition, la deuxième au cabinet Jeantet, la photographe Caura Barszcz continue son exploration du temps qui passe et du travail sur les matières. Comme l’eau ici qui prend de la texture et des couleurs grâce à la Route du Rhum 2018 et à Happy en particulier le petit trimaran jaune de Loïc Peyron.
Un autre voyage.20 tirages sont exposés – Photos prises en 2018 et 2019 en Inde, en Bretagne et à Grenoble.
Que nous renvoie une flaque d’eau ou une vitre sur qui nous sommes ?
Que nous raconte une affiche ou un graffiti de ce que nous sommes ?
Il y a mille façons de regarder notre histoire.Exposition privée dans les locaux du cabinet d’avocats AugustDebouzy.
La matière, son relief, ses couleurs, ses épaisseurs. Que ce soit un mur ou une carcasse de bateau, la matière raconte une histoire. Jamais la même et, pourtant, elle suit le même fil narratif jusqu’au rien.
La texture en se transformant devient vague, topographie, sculpture, peinture, fleuve ou rivière, paysages inconnus, personnages en action…
Envoyant à l’imagination de celui qui regarde mille signaux pour se forger sa propre interprétation.
Du concret à l’abstrait. Du réel à l’imaginaire. « Texture » est le reflet de cet appel puissant.21 tirages sont exposés – Photos prises entre 2015 et 2017 en Inde et en Bretagne
Cette exposition privée dans les locaux du cabinet d’avocats « Herbert Smith Freehills » est un hommage rendu aux Femmes et à la Culture dans le monde.Les photos ont été prises lors de différents voyages entre 2013 et 2018 : Myanmar, Chine, Inde, Japon, Etats Unis et France.
« Espaces ». Un pluriel pour autant d’atmosphères où les photos répondent aux tableaux de Laure Donnedieu de Vabres que ce soit les pics des villes, ces espaces urbains où la richesse foisonnante de l’art éphémère s’épanouit, des tableaux /graffitis toujours renouvelés. Ou encore les espaces grandioses et toujours changeants de la nature aux moments souvent privilégiés des levers du jour ou après la pluie.34 tirages sont exposés. Ces prises de vue ont été réalisées entre 2013 et 2017 aux USA, en Asie (Inde, Chine, Japon, Cambodge) mais également à Paris.
L’oeil est parfois attiré par des points de fuite.
Une ligne qui mène nulle part.
C’est une sorte de voyage.
Vers le haut ou le bas, vers le côté, vers le loin.
Le regard la suit et s’ouvre vers l’infini.
Ce travail, j’ai choisi de l’intituler « Tempus » . C’est l’effet du temps qui passe, qui transforme, imperceptiblement parfois, mais inexorablement, la vie, les choses, les gens. Et qui peut brouiller les pistes, que l’on remonte jusqu’à l’origine ou que l’on regarde le résultat à un instant T.Ici, il s’agit de ce qu’il restait d’un thonier échoué au bout d’un quai improbable à Saint-Malo (Bretagne, France).
A première vue, cette épave était grise, trouée, ballotée par les vents et les éléments qui sans relâche la détruisaient, la dissolvaient. Mais quand on s’y attachait, son charme vous attirait et vous apaisait. Elle se livrait alors…un peu.Ce travail a été réalisé à plusieurs périodes et saisons sur deux ans. Le temps passe. Il détruit mais révèle aussi la beauté profonde des matières et des couleurs.
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Que voit l’œil ? L’œil comprend et analyse ce qu’on lui présente suivant le contexte, la culture d’où il est issu, sa propre vision d’une situation.Il voit une forme, un objet, une couleur, un contraste. Mais pour autant ce n’est pas nécessairement ce qu’il comprend voir.
Détourner sans tricher, travailler sur les matières, les couleurs, les formes. La nature est riche par elle-même, il suffit parfois de jouer un peu avec elle.
Chine, Vietnam, Cambodge, Myanmar…
L’Asie a un goût unique, une senteur particulière, une vie à part attachante.Photos prises entre 2011 et 2014
Cette exposition a fait l’objet d’un recueil de photos